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Cétacés de Polynésie - Baleines et dauphins
Cétacés de Polynésie - Baleines et dauphins

Cétacés de Polynésie

Zoo de Beauval
Zoo de Beauval

Ils, ce sont les cétacés de Polynésie. Ils ont une queue pour se propulser et des nageoires de stabilisation… Ils s’alimentent, s’accouplent, meurent dans l’eau… Et pourtant ce ne sont pas des poissons ! « Ils » ce sont en particulier les dauphins, marsouins et baleines, dignes représentants de l’ordre des cétacés.

Les différents cétacés en Polynésie

Des ancêtres de mammifères terrestres à vrai dire, qui, pour des raisons encore inconnues, ont regagné la mer il y a quelques millions d’années. Après une adaptation exemplaire à la vie aquatique, ils ont donné au monde le plus gigantesque des animaux : la baleine bleue. Le plus intelligent aussi, avec le dauphin, dont l’amitié légendaire qu’il semble porter aux hommes est à l’origine de théories les plus folles.

Selon Michael Poole (cétologue local), les cinq millions de kilomètres carrés d’océan qui composent la zone économique polynésienne constituent un site d’observations de premier ordre. Sur les 75 espèces de cétacés recensées dans le monde, 25 approximativement fréquenteraient assidûment les eaux polynésiennes. Voici un petit tour d’horizon des « us et coutumes » de celles et ceux qui enchantent le plus communément les incursions marines …

Des léviathans en villégiature sous les tropiques

Montagnes de chair, d’huile et d’os, alliant pourtant grâce et puissance, les baleines fascinent. A notre plus grande chance, certaines d’entre elles sillonnent très régulièrement les eaux de notre Territoire. Des îles de la Société aux Tuamotu, de la presqu’ile aux Australes… navigateurs, pêcheurs et plongeurs rapportent de plus en plus fréquemment des rencontres avec ces léviathans pacifiques. Celles qui viennent, durant l’été austral, hanter les abords de des îles de Polynésie sont des « baleines à bosse » ou « jubartes ».

Ce sont d’imposantes bêtes mesurant jusqu’à 15 mètres de longueur, dotées de nageoires pectorales surdimensionnées à l’origine de l’appellation plus scientifique de « mégaptères » (grandes ailes). Elles n’ont pas de dent mais filtrent l’eau à travers des fanons qui retiennent leurs proies. Que viennent-elles faire dans ces eaux trop chaudes et insuffisamment oxygénées pour être riches en krill, ces petits crustacés qui composent son aliment habituel ? Eh bien, elles font comme quelques dizaines de millions d’autres personnes qui se précipitent sur le littoral aux premiers beaux jours…

Ce type de cétacé vient dans les îles polynésiennes y chercher chaleur, calme et réconfort… les conditions idéales d’une « lune de miel » bien méritée ! Car pour arriver jusqu’à nous, elles n’ont pas hésité à entreprendre un incroyable voyage à travers le Grand Océan.

Celles du nord ne rencontrent jamais celles du sud…

Tandis que les baleines à bosse de l’hémisphère nord quittent les eaux de l’Alaska et migrent vers le sud pour passer l’hiver au chaud autour des îles Hawaii (de novembre à mai), leurs consoeurs de l’hémisphère Sud, qui s’ébrouaient jusqu’alors sous les latitudes de la Polynésie, regagnent au même moment la zone Antarctique. Inversement, quand ces dernières remontent en direction de l’équateur vers les aires de reproduction (de juin à octobre), les « nordistes », quant à elles, quittent leur refuge estival hawaiien pour regagner les eaux riches en krill de l’Arctique où commence l’été. Ainsi les groupes situés de part et d’autre de l’équateur, soumis à des saisons inversées, ne se rencontrent jamais !

Michael Poole estime qu’en un temps où la température des grands océans était inférieure, les glaces et les eaux froides des régions polaires s’étendaient bien au-delà de leurs limites actuelles. Les mouvements migratoires nécessaires pour rallier les aires de reproduction et d’alimentation, n’avaient donc pas la longueur de ceux qui prévalent aujourd’hui : 8000 à 13.000 kilomètres, aller et retour, pour les baleines !

Quand résonne le chant d’amour des cétacés

Dans leur retraite tropicale, les femelles mégaptères mettent bas leurs petits (la gestation dure douze mois), tandis que les mâles cherchent des compagnes. Bien que personne, à notre connaissance, n’ait encore assisté à une naissance, ni qu’aucun livre scientifique ne mentionne la Polynésie Française comme aire de reproduction, un faisceau d’observations fiables permet de penser que les baleines à bosse présentes dans les eaux tropicales de juin à octobre viennent bel et bien pour s’accoupler et sevrer les petits qui y naissent.

Les nombreuses images tournées à Rurutu ces dernières années par l’équipe du Raie Manta Club, viennent, elles aussi, conforter cette thèse. On y voit non seulement des mères accompagnées de leur baleineau mais aussi des adultes entonnant des séries de vocalises mélodieuses. Or le chant des mégaptères se fait surtout entendre dans les aires de reproduction… De tous les cétacés, c’est la baleine à bosse qui produit les séquences sonores les plus longues et les plus complexes. Les mâles sont semblent-ils les seuls à chanter. Leurs émissions sonores contribueraient à définir les territoires individuels et joueraient un rôle dans l’accouplement, le meilleur ou le plus puissant des chanteurs obtenant peut-être plus facilement les faveurs des femelles. La raison de la présence des jubartes dans les eaux de Polynésie ne semblent donc plus laisser de place au doute.

Baleine en Polynésie
Baleine en Polynésie

Les mégaptères de plus en plus présentes en Polynésie

Alors que les aires de reproduction reconnues des mégaptères originaires de l’hémisphère sud sont principalement situés à l’ouest (Australie, Nouvelle-Zélande, îles Samoa, Tonga et Fidji), les jubartes semblent fréquenter de plus en plus assidûment notre domaine maritime. L’année 1991 vit même une affluence exceptionnelle. Il semblerait que l’élévation de la température moyenne de l’océan dans la région de la Polynésie soit un facteur favorisant. Toutefois, dans l’état actuel des observations, Michael Poole se refuse à tirer des conclusions hâtives. Il est vrai que la fréquentation exceptionnelle de 1991 correspondait à une période où les eaux océaniques étaient anormalement chaudes. Cette théorie, très pertinente, demanderait donc une étude plus poussée.

Y a t-il une fidélité dans la fréquentation des aires polynésiennes d’une année sur l’autre ? Là encore on peut le penser mais les informations recueillies depuis 1988 sont trop fragmentaires pour pouvoir l’affirmer sans risque d’erreur. A ce niveau, la centralisation des observations et l’identification individuelle des animaux faites sur plusieurs saisons restent essentielles pour confirmer cette hypothèse. C’est dans ce but que Michael Poole invite toutes les personnes ayant croisé des mégaptères à faire oeuvre utile en lui communiquant les informations et si possible les images dont ils disposent. Ces dernières sont particulièrement importantes puisqu’elles constituent le seul moyen fiable de reconnaissance des individus. Un peu à la manière de nos empreintes digitales, chaque cétacé porte des traces spécifiques, des « signatures » exclusives qui permettent de l’identifier avec certitude.

Pigmentation de la peau, forme de l’aileron dorsal ou encore de la queue sont quelques-uns des signes distinctifs habituellement utilisés par les cétologues. C’est par ce biais que les études menées à Hawaii depuis plusieurs années, ont permis de mettre en évidence un paramètre de fidélité aux aires de reproduction. Quoi qu’il en soit, l’importance de la colonie présente en Polynésie restera vraisemblablement bien en-deçà de celle présente dans les eaux hawaiiennes. Le nombre d’archipels situés dans le Pacifique Sud en est la raison essentielle. Cette multiplication engendre une plus grande dispersion des populations de jubartes que dans l’hémisphère Nord où les îles susceptibles d’accueillir leurs ébats sont sensiblement moins nombreuses.

Pendant leur villégiature tropicale, les baleines à bosse ne se nourrissent guère, vivant sur les réserves qu’elles ont constituées pendant leur séjour dans les eaux riches de la région Antarctique. D’ailleurs que pourraient leur offrir les eaux polynésiennes dont la transparence ne fait que traduire leur pauvreté en phytoplancton et zooplancton ? Non, les jubartes sont bel et bien venues chez nous pour vivre d’amour et… d’eau chaude.

Dauphin à bec droit
Dauphin à bec droit

Les dauphins : de joyeux drilles plus sérieux qu’on ne le croit

Ils filent comme des torpilles, flirtent avec les profondeurs, se jouent des autres habitants des mers qu’ils détrônent sans mal par leur intelligence. Avec leur air jovial, leurs cabrioles folles, leurs joyeuses danses le long des étraves, les dauphins remportent tous les suffrages au baromètre des sympathies. Ces bêtes qui ne manquent pas de souffle… n’en coupent pas moins le nôtre ! Trois espèces fréquentent communément les abords de des îles avec, selon les espèces, une préférence plus ou moins marquée pour certains archipels.

Il s’agit des dauphins « à bec étroit »(Steno bredanensis), des grands dauphins (Tursiop truncatus) et des dauphins « à long bec » (stenella longirostris) qui, pour leur part, n’hésitent pas à venir s’abriter dans les lagons et les baies profondes des îles hautes. Ce sont donc eux que l’on a le plus souvent l’occasion d’observer. A ce titre, ils méritent que nous nous y attardions plus longuement. Les dauphins « à long bec » sont relativement petits puisqu’ils ne dépassent guère deux mètres. Ils sont reconnaissables à leur long museau effilé et à la tache sombre qui cercle les yeux. Le gris foncé du bec, de la tête et du dos passe au gris pâle, au blanc crème ou au brun clair sur les flancs. Le ventre est blanc.

Ce sont les delphinidés les plus acrobatiques du monde. Mais au-delà de l’apparence joyeuse, Il faut voir dans les sauts périlleux, vrilles et loopings qu’ils pratiquent avec art, un comportement social très élaboré. Car ces manifestations sont loin d’être purement ludiques ! Ainsi, elles auront une signification différente selon la période de la journée à laquelle elles se déroulent. Les cétologues pensent que les acrobaties de l’après-midi servent à renforcer la cohésion du groupe avant l’heure de la chasse. Cette dernière, toujours nocturne, est pratiquée de façon collective en haute mer.

Pour être aussi efficace que possible, elle mobilise plusieurs centaines d’individus; chacun d’entre eux, contribuant, grâce à son sonar, à augmenter les chances de localiser les bancs de calmars et de poissons pourchassés jusqu’à 200 ou 300 mètres de profondeur. Il semble ne pas y avoir de règle rigide quant à la composition des groupes. Leur importance change pratiquement chaque jour, les individus passant librement de l’un à l’autre quand la meute se disperse à l’issue de la traque.

La transition entre la phase nocturne – active – et la période diurne consacrée au repos, est également marquée par une série de démonstrations spectaculaires. Pratiquées le matin, en prélude à la journée de sommeil et de paresse qui s’annonce, elles sont l’expression d’un contentement. A l’issue de cette période, les dauphins « à long bec » vont pouvoir s’endormir… rompus et repus par leur activité nocturne. Ils n’hésitent alors pas à venir s’assoupir près des îles de Polynésie qui leur procurent calme (parfois très relatif… !) et sécurité. Toutefois, ne comptez pas les trouver immobiles en surface, nageoires en éventail ! C’est pendant cette période de repos qu’on les voit déambuler lentement le long du récif-barrière, dans les lagons et les passes sans courant. Car ces animaux nagent en dormant.

Comme leur respiration est un acte conscient et non un reflex, ils utilisent alternativement une des deux hémisphères de leur cerveau pour ne pas suffoquer. Durant cette phase, leur système d’écholocation (sonar) est inactif ce qui les rend plus vulnérables. C’est pourquoi ils affectionnent, le calme, la transparence et la blancheur des lagons qui leur permettent de nager sans effort et de détecter à l’oeil la présence d’un éventuel prédateur. Pour les mêmes raisons, ces dauphins semblent moins enclins à fréquenter les passes d’atolls où les courants y sont généralement plus violents et les prédateurs potentiels plus nombreux.

En haute mer, l’attitude des dauphins à « long bec » diffère quelque peu. Ils nagent alors de concert avec les dauphins tachetés (Stenella attenuata) qui, en dormant la nuit et chassant le jour, ont un rythme de vie inverse au leur. La cohabitation est avantageuse pour les deux espèces puisque une fraction du groupe reste toujours vigilante à l’approche éventuelle de prédateurs. Les thons (aahi), qui partagent avec ces dauphins les mêmes habitudes alimentaires, suivent la meute en profondeur, profitant ainsi du système performant d’écholocation des cétacés pour trouver dans l’immensité océane les bancs de calmars et de petits poissons. Les thons étant eux-même très convoités par l’homme, ceci vaut aux deux espèces de dauphins précitées d’être, chaque année, piégés par centaines de milliers dans les filets. Ainsi, pour certaines populations de dauphins, on estime qu’il ne reste plus, dans l’est du Pacifique tropical (entre Hawaii, Mexique et Pérou, que 17 pour cent des effectifs d’avant 1959…

Six millions d’entr’eux auraient été ainsi massacrés en trente ans, avec pour sinistre record 534.000 d’entre eux rien que pour la saison de 1961…

Autres dauphins présents dans les eaux polynésienne : les « grands dauphins » ou  » dauphins à nez en bouteille » (Tursiops truncatus). Avec l’orque, cette espèce est la plus grande des dauphins à bec. Les individus, vigoureux et robustes s’adaptent facilement à la captivité, c’est pourquoi ils peuplent en majorité les delphinariums, « marinelands » et autres tristes cirques du genre… Les Tursiops vivent en solitaires ou forment des groupes de taille variable. Comme chez les dauphins à long bec, la composition des groupes semble très versatile. Toutefois, il semblerait y avoir des sous-groupes relativement stables réunissant de deux à six dauphins dirigés par un mâle dominant.

Les Tursiops sont plus fréquents, semble t-il, dans l’archipel des Tuamotu qu’autour des îles de la Société. Ils n’hésitent pas à pénétrer dans les passes d’atolls pour jouer dans les vagues violentes du mascaret, ni à venir saluer rapidement les plongeurs. Les Tursiops sont visibles toute l’année en Polynésie.

globicephale
globicephale

Les globicéphales : plongeurs des abysses

Les globicéphales tropicaux (Globicephala macrorhynchus), comptent au rang des plus grands delphinidés. On les identifie facilement grâce à leur tête ronde et « bulbeuse » et à leur aileron dorsal à large base et fortement incurvé. Les mâles adultes atteignent une longueur de cinq mètres cinquante et un poids de trois tonnes. Ils possèdent une organisation sociale matriarcale très élaborée. Les mâles dominants du groupe sont polygames et règnent sur plusieurs femelles. Ces dernières connaissent un phénomène excessivement rare dans le monde animal : elle peuvent continuer à allaiter après la ménopause. Les femelles les plus âgées consacrent donc leur forces à élever chacune un petit, tandis que celles en âge de procréer investissent toute leur énergie dans la production d’un nombre élevé de nouveau-nés.

L’espérance de vie est importante puisqu’elle atteint 50 ans chez les mâles et 65 ans chez les femelles. De ce fait, les groupes rassemblent souvent un nombre important d’individus. Ils sont présents dans tous les archipels de la Polynésie mais restent toujours assez au large des côtes, à une distance rarement inférieure à deux kilomètres. Ils affectionnent les grands fonds et plongent d’ailleurs jusqu’à 600 mètres pour chasser les calmars qui composent principalement leur régime alimentaire. Ils évoluent sur de grandes superficies, aussi, est-il difficile de dire, pour l’heure, si les colonies présentes en Polynésie y résident toute l’année ou ne font que passer.

Les Orques : Pour en finir … avec certaines fausses idées

Contrairement à ce que l’on croit souvent, l’aire de répartition des orques (Orcinus orca ou « épaulards ») est bien plus large que les seules eaux froides des latitudes Nord ou antarctiques. Si ces dernières recueillent effectivement leur préférence, les orques peuplent néanmoins les mers tempérées et tropicales.

Michael Poole affirme qu’elles sillonnent épisodiquement les eaux de l’Océan. Depuis 1990, elles ont été observées à trois reprises à Moorea, une fois dans le chenal, et deux fois à Bora-Bora… Si d’aventure, vous croyez voir, dans sa livrée blanche et noire caractéristique, une « baleine tueuse« ; sachez que ce ne sera pas forcément une hallucination ni même, en plongée sous-marine, les effets d’une narcose ! Bien que rare, une telle rencontre reste fort possible. Quant aux marsouins, ils ont une nette préférence pour les mers plus tempérées. Qu’on se le dise une fois pour toute: les seuls à fréquenter les eaux polynésiennes sont ceux… du R.I.MA.P de Taravao !

Information et définition sur les cétacés en polynésie

Baleine à bosse ou mégaptère
Nom scientifique : Megaptera novaeangliea
Taille adulte : 16 mètres
Poids : 35 à 40 tonnes
Reproduction : un petit tous les deux ou trois ans
Gestation :12 mois. Le nouveau-né mesure environ 4 mètres
Alimentation : krill, plancton et petits poissons en bancs
Visible en Polynésie : de juin à octobre

Dauphin à long bec
Nom scientifique : Stenella Longirostris
Taille adulte : 2 mètres
Poids : 80 kilos
Reproduction : tous les 2 ou 3 ans
Gestation : 10 à 11 mois. Le nouveau-né mesure environ 80 cm
Alimentation : calmars et petits poissons
Visible en Polynésie : toute l’année

Grand dauphin ou Dauphin à nez de bouteille
Nom scientifique : Tursiop truncatus
Taille adulte : 4 mètres
Poids : 250 / 275 kilos
Reproduction : tous les 2 ou 3 ans
Gestation : 12 mois
Alimentation : poissons, calmars, crustacés
Visible en Polynésie : toute l’année

Globicephale
Nom scientifique : Globicephala macrorhynchus
Taille adulte : 5,5 mètres
Poids : 3 tonnes
Reproduction : tous les 3 ans
Gestation : 16 mois
Alimentation : calmars et poissons
Visible en Polynésie : toute l’année

Jet-skieurs : passez votre chemin !

L’eau est un milieu beaucoup plus dense que l’air, de ce fait les sons se propagent plus vite et sont mieux perçus. Certains d’entre eux peuvent incommoder les cétacés. C’est le cas de ceux émis par les moteurs hors-bords, et de façon plus sensible encore, par ceux des turbines des jet-skis dont la fréquence et l’intensité s’avèrent particulièrement traumatisantes. Les bêtes subissent alors un stress important qui perturbe le rythme cardiaque et engendre des troubles nerveux et respiratoires.

Dans l’affolement les nouveau-nés peuvent être blessés. Par respect pour ces êtres extraordinaires et sensibles, jet-skieurs passez votre chemin sans les harasser !

N’hésitez pas à visiter le site des mammifères marins de Polynésie

Détail sur L’affiche présentée ci dessus : Cette affiche a été réalisée pour le gouvernement de la Polynésie française et destinée à la Direction de l’Environnement .

Dessins : Sergio MACEDO
Recherche et concept : Gérald Mc CORMACK et Michale POOLE réalisation
Réalisation : Michael POOLE
Coordination : Agnès BENET

Cette affiche est publique, une grande diffusion est donc recommandée ; vous pouvez la retrouver et la partager en cliquant ICI

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3 comments

  1. Bonjour! Notre fille recherche 1 thèse sur les cétacés pour l,année 2016 2017,actuellement elle fait 1 master2sur les cétacés en Afrique du Sud. Elle fait partie de l,université de pierre Marie curie de Paris 6 merci de nous répondre

  2. oups c’est parti trop vite,
    Votre article est intéressant… Le partage est plus riche dans l’honnêteté et le respect de tous ainsi que du travail des autres.

    • Et vous avez tout à fait raison ! Je vais donc faire mieux que cela et publier une parti du commentaire qui permettra aux visiteurs de voir (mieux que sur l’image) les auteurs; Et la description de la réalisation. heureux que l’article vous plaise -)

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